Le jour se vide.
L’aiguille entre dans la chair,
la perle au bout du doigt
divise le lien, colore le tissus.
Le fil tisse le labyrinthe
croise le temps de l’attente.
c’est un parcours de patience,
une broderie de silence.
Le jour se vide.
L’aiguille entre dans la chair,
la perle au bout du doigt
divise le lien, colore le tissus.
Le fil tisse le labyrinthe
croise le temps de l’attente.
c’est un parcours de patience,
une broderie de silence.